News
Victor Lafanechère (MBA 2012) : Directeur grands comptes internationaux - Lenôtre
Vos années Excelia en quelques mots :
Intégration directe, Master anglophone, Université partenaire
Le résumé du début de votre parcours :
Un début somme toute assez classique : j'ai fait mes deux stages de master chez Sodexo Sports et Loisirs, à la suite desquels j’y ai décroché mon premier job.
Le moment charnière de votre carrière :
La direction Food and Beverage de la Fan Zone de l'UEFA Paris 2016, avec d'énormes enjeux transverses. Ce fut le moment le plus tendu, éprouvant mais aussi le plus enrichissant de ma jeune carrière. Avec plus de 700 membres de personnel tous les jours et la fatigue d’un mois de compétition non-stop, mon management a également été mis à rude épreuve.
L'UEFA, c'est plus d’un million de spectateurs et plus de 700000 pintes de bière servies.
Votre poste actuel, vos missions :
Je suis actuellement directeur grands comptes internationaux pour la maison Lenôtre.
Votre plus bel accomplissement :
C'est certainement pendant le Ryder Cup 2018 et la gestion de 7 restaurants différents, avec des menus différents tous les jours, 5000 clients par jour et plus de 700 membres de personnel. Un public international très exigeant, le tout dans un endroit pas du tout adapté pour accueillir ce genre de manifestation. L'ensemble mixé avec un client organisateur anglais... j'ai appris à travailler avec des anglais !
Quels sont vos objectifs professionnels pour l'avenir ?
Avec la crise sanitaire actuelle, j'ai pour projet de sortir de l’événementiel pur pour me recentrer sur le contenu, la communication, les messages... Toujours pour le groupe Sodexo.
Pour vous, Alumni, qu’est-ce que c’est ?
Le regroupement des anciens, ceux qui sont passés par le même chemin, qui ont tout intérêt à former un groupe solidaire qui s’entraide, représente l’école et porte les nouveaux.
Avez-vous des conseils à donner à nos diplômés et étudiants ?
La première chose selon moi, c'est s'impliquer dans la vie associative de l’école, on peut apprendre énormément. Ensuite, il y a le choix des stages et pour finir, l'investissement professionnel. Je dirais qu’on récolte ce que l'on sème, alors autant profiter des premières années professionnelles pour s'investir au maximum, c’est ce qui a payé pour moi. Enfin, il faut se faire confiance et ne pas vouloir aller trop vite.
Un mot pour conclure ?
If you want to go fast, go alone ! If you want to go far, go together !
Aucun commentaire
Vous devez être connecté pour laisser un commentaire. Connectez-vous.